MIME-Version: 1.0 Content-Type: multipart/related; boundary="----=_NextPart_01C81275.D85371C0" Ce document est une page Web à fichier unique, ou fichier archive Web. Si ce message est affiché, votre navigateur ou votre éditeur ne prend pas en charge les fichiers archives Web. Téléchargez un navigateur qui prend en charge les archives Web, par exemple Microsoft Internet Explorer. ------=_NextPart_01C81275.D85371C0 Content-Location: file:///C:/ED86A2F3/Sujets.htm Content-Transfer-Encoding: quoted-printable Content-Type: text/html; charset="us-ascii"
Sujet 1
Lois de réciprocité.
On tra= vaille dans l’ensemble = sub> des entiers relatifs.
Si =
n
est un entier, on peut se demander si n est un carré. Autreme=
nt
dit, s’il existe un entier m tel que =
sub>. Bon, ça, c’est pas passionnant pour nous.<=
/p>
On se =
donne un
nombre premier p. Et on se pose la question suivante : Est-ce q=
ue n
s’écrit comme un carré plus un multiple de p =
i>?
En fait, a-t-on =
sub> avec <=
i>m
et k entiers ? On peut aussi poser la question
équivalente : Existe-t-il m tel que =
sub> soit divisi=
ble
par p ? Exe=
mple :
En prenant p=3D3, Peut-on écrire 1 comme somme d’un carré et
d’un multiple de 3 ? &=
nbsp; Oui :
=
sub>. &=
nbsp; Et
avec 2 ? &=
nbsp; Non,
on ne trouve pas de solution. On che=
rche
donc une loi qui permet de dire si un nombre n est un
carré plus un multiple de p pour notre p fixé.
Autrement dit, n est-il un carré modulo p ? On peut
fabriquer un symbole (sorte de machine) qui est définie de la
façon suivante : =
sub> On a d=
onc
montré que =
sub> et on pense=
que =
sub>. QUESTIONS : <=
/p>
1.&n=
bsp;
Comprendre le symbole, en particuli=
er,
calculer un certain nombre de valeurs. 2.&n=
bsp;
Calculer explicitement =
sub> et 3.&n=
bsp;
Soient p et q deux
premiers, existe-t-il une relation entre =
sub> et 4.&n=
bsp;
Quels sont les premiers qui
s’écrivent comme somme de deux carrés =
sub> ? Sujet 2 Les carrés magiques. Un
carré de taille n est un tableau à n lignes et =
n
colonnes. Il a donc =
sub>cases et 2 vraies diagonales (en vert) joignant les coins=
. =
p>
On peu=
t aussi
voir des diagonales brisées comme ci-dessous : =
ou d̵=
7;une
autre façon =
Il y e=
n a 2n-2. Au tot=
al, on
dit qu’un carré a 4n rangées ( n
lignes, n colonnes, 2 vraies diagonales et 2n-2 diagonales
brisées). Un
carré est dit eulérien si tous les entiers compris ent=
re 0
et =
sub> apparaissen=
t dans
une case du carré. (Comme notre exemple ci-dessus) Un
carré est dit magique s’il est eulérien et si la
somme des éléments de chaque ligne, de chaque colonne et des =
deux
vraies diagonales est la même. Un
carré est super-magique s’il est eulérien et si =
la
somme des éléments de chaque rangée est la même.=
Exe=
mple :
Voici un super magique de taille 5 : 0 24 18 12 6 13 7 1 20 19 21 15 14 8 2 9 3 22 16 10 17 11 5 4 23 QUESTIONS : <=
/p>
1.&n=
bsp;
Combien y a-t-il de carrés
eulériens de taille n ? 2.&n=
bsp;
Existe-t-il des carrés magiq=
ues,
super-magiques de taille 2, 3, 4 … 3.&n=
bsp;
Peut-on concevoir une manièr=
e de
les construire? Sujet 3 Codes correcteurs d’erreurs. =
A veut envoyer un messa=
ge m
à B, mais il y a incertitude sur l’existence d’erreur
durant la transmission (bruits…). Trouve=
r un
code, c’est fabriquer un objet mathématique qui permet à=
; B
de faire deux choses : -&nb=
sp;
de détecter s’il y a u=
ne
erreur dans le message reçu par rapport à celui envoyé=
. -&nb=
sp;
de corriger s’il n’y a =
pas
trop d’erreurs. On
modélise un message sous la forme d’une chaîne de 0 et d=
e 1.
On travaille donc dans un ensemble qu’on appelle =
sub> et que l=
217;on
munit d’une loi additive simple : 0+0=3D0 ;
0+1=3D1 ; 1+0=3D1 ; 1+1=3D0. Exe=
mple :
Un premier code simple consiste à additionner les élém=
ents
de la chaîne et d’envoyer cette somme comme un caractère=
de
plus. Pour envoyer m, on envoie m. Ainsi, si B fait la
somme de tous les caractères qu’il a reçu, il doit obte=
nir
0. Si ce n’est pas le cas, il peut affirmer qu’il y a une erreu=
r. =
p>
<=
/span>Le
code du prestidigitateur : est celui dont l’étude est
proposée : a)&n=
bsp;
A doit choisir un entier entre 0 et=
15. b)&n=
bsp;
B pose sept questions à A do=
nt les
réponses sont oui ou non et A peut mentir au plus une fois : 1.&n=
bsp;
Le nombre est-il supérieur ou
égal à 8 ? 2.&n=
bsp;
Est-il parmi 4,5,6,7,12,13,14,15&nb=
sp;? 3.&n=
bsp;
Est-il parmi 2,3,6,7,10,11,14,15&nb=
sp;? 4.&n=
bsp;
Est-il impair ? 5.&n=
bsp;
Est-il parmi 1,2,4,7,9,10,12,15&nbs=
p;? 6.&n=
bsp;
Est-il parmi 1,2,5,6,8,11,12,15&nbs=
p;? 7.&n=
bsp;
Est-il parmi 1,3,4,6,8,10,13,15&nbs=
p;? c)&n=
bsp;
B trouve le nombre (et la ré=
ponse
fausse si elle existe). QUESTIONS : <=
/p>
1.&n=
bsp;
Comprendre comment B fait pour donn=
er la
bonne réponse. 2.&n=
bsp;
Peut-on construire un code avec six
questions seulement ? 3.&n=
bsp;
Pratiquer le jeu. 4.&n=
bsp;
Codes parfaits… Sujet 4 Le problème du calendrier. On se =
donne 12
équipes qui doivent s’affronter par paire sur 6 tours. On veu=
t que
les équipes ne jouent jamais deux fois contre la même
équipe adverse. QUESTIONS : <=
/p>
1.&n=
bsp;
Quels sont les calendriers
possibles ? 2.&n=
bsp;
En supposant qu’il y a 6 spor=
ts en
jeu (foot, rugby, tennis, squash, vélo et …. pelote basque) et
qu’aucune équipe ne jouera deux fois au même sport, quels
sont les calendriers possibles ?